Qu'est-ce qu'il aurait passait si...

Chère madame,

Je rigolais ce mercredi au port. J’étais là et je ne sais pas pour quoi pensais à exactement un an avant, le septembre 2005. C’était le dernier weekend du mois et j’avais decidé d’aller à Paris voir madame Vivar, Mariona Vivar, la femme qui vit à Paris et pour Paris. J’y suis arrivé un vendredi nuit et on a fait déjà la premier chose que je désirais faire en ce moment là: aller dans un bar et prendre un bon vin un vendredi soir a la capital française. Je me souvienne exactement du quoi je pensais alors: je l’ai passé si bien que je pourrais déjà partir maintenant! On a finalement arrivé chez l’amie de Mariona –à Ivry Sur Seine, tu connais ?- très tard, a deux heures du matin ou quelque chose comme ça. Le lendemain je me souviens que j’avais perdue ma situation et quand je me suis réveillé j’ai pensé: où est-ce que je suis? À Paris! Mon dieu! On a passé le jour en se promenant par la ville avec Mariona, par les jardins du Louvre, le Seine, Saint Germain des Pres, le Marais où on a très bien mangé… après la place des Vosges… et la nuit dans un fête chez des amis de Mariona… On a fini le jour dans un salle de fête de la nuit parisienne et moi en essayant d’avoir quelque chose avec un fille…

Et maintenant je penses… où étais tu en ce moment là? Quand on a monté dimanche matin jusqu’à Montmartre et on a mangé des crêpes avec l’ami Bailo en parlant des Capgrossos (Mataró, toujours Mataró!)... étais tu seule? Étais tu accompagné? En quoi as-tu passé ce weekend-là? Et qu’est-ce qu’il aurait passé si on s’avait rencontré? On s’aurait salué? Imaginez-toi qu’on ce retrouve le dimanche nuit au dessous de la Tour Eiffel, quand on été avec Mariona et Núria en faisant une autre session de fromage et vin? Tu aurais venu nous accompagné? Comme on dit en italian… «chi lo sa»! C’est amusant, non, de penser qu’est-ce qu’il aurait passé non?
En fin, quand on se retrouve à Paris?

Grosses bises,
joan

Comentaris

Anònim ha dit…
Joan, creume: tan a Mataró com a París, de nit, totes les vaques són negres.

M'alegre saber que dimecres al port tinguessis bons records: fa pena, però no és gaire sovint que tenim els records que volem.

Company, ara, només et desitjo bones idees (i clares); els sentiments, acceptels confusos.
Anònim ha dit…
Je ne sais pas ce qu'il aurait passé si on se trouvait du coup à côté de la Tour Eiffel. D'abord je serais très étonné parce que je ne l'attenderais pas, mais c'est sure que j'aurait vraiement aimé de vous rejoindre avec le bon vin et fromage français.

Ce que je sais est que c'était un vrai plaisir de passer une très belle journée en se prommenant par quelques des plus beaux endroits de Paris avec toi et Mariona.

Je suis maintenant à Mataró, mais je rentre le dimanche 8 à Paris.Alors, quand est-ce qu'on répète cette expérience? Mataró ou Paris?

Salutations!! et à bientôt!!
Anònim ha dit…
On ne saura jamais... mais on doit penser a aujourd'hui et pas au passé.
Je t'embrasse. ( :-P)
C'est pas si mauvais rester au passé... moi j'aime ça aussi. On sais jamais qui peut-on se rencontrer dans un beaux endroit parisien et il faut toujours revé si on veut avoir un jour ce qu'on a fortement désiré...

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